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LOCHE de rivière Cobitis taenia (Linné) 1758 - Cobitidés Autres noms communs ou locaux : barbotin, lbarbotte, dormille, dormillon, endormille, grande kereliche, grandel, grundl, kerliche, lanceron, lauqueto, leu, linotte, loche épineuse, locho, lochon, louchou, loquo trenco, lotza, louchia, loursoua, misgurne, motelle, moussegaïré, moustache, moutaille, moutelle, mouteuille, mulotte, mustelle, nausqueto, palmo, petit barbot, satouille, schmerlé, Noms étrangers : Spined loach (GB) - Steinpeitzger (All.) DESCRIPTION Le corps est allongé, et comprimé latéralement. La face dorsale est jaune avec des tâches sombres; on distingue sur les flancs une rangée longitudinale de 10 à 20 tâches brunes surmontée d'une autre rangée de tâches plus petites; la face ventrale est blanche. Il existe six barbillons autour de la bouche, la narine antérieure est tubulaire. La fente sous orbitaire abrite une double épine érectile. Le second rayon des pectorales est plus épais chez les mâles. Taille : de 8 à 12 cm. rare 16 cm. BIOLOGIE La Loche de rivière vit prés des rives dans les cours d'eau et les lacs clairs à fond sablo-vaseux. La reproduction a lieu d'avril à juillet parmi les pierres et la végétation des eaux courantes et peu profondes. Les alevins deviennent benthiques presque immédiatement après la naissance. Elle devient active au crépuscule, dans la journée elle s'enterre dans le sable ou la vase. ORIGINE ET DISTRIBUTION La Loche de rivière était signalée dans le bassin Seine-Normandie (Ray, 1851 Valenciennes, 1848 ; Gadeau de Kerville, 1897 ; Boisset, 1948 ; Spillmann, 1961 d'Aubenton et Spillmann, 1977; Grégoire, 1983 ); dans le bassin Loire-Bretagne : en Anjou (Soland, 1869), dans le Cher (Dubois, 1903), en Saône et Loire (Gensoul, 1908) et dans l'Allier, le Puy de Dôme, la Loire, la Haute loire, la Lozère et l'Aveyron (Spillmann, 1961); dans le bassin Rhin-Meuse et le bassin du Rhône (Spillmann, 1961) ; elle n'est pas signalée par Verneaux (1971) dans le bassin du Doubs. Dans le Sud elle est citée dans les parties amont des Gardons et l'Orb (Kiener, 1985). Sa distribution actuelle semble être assez limitée au quart Nord-est du pays (bassin de la Seine et de la Meuse) ? PÊCHE Sa capture est rare en adoptant lesédés classiques. La prise de quelques individus pour la pêche au vif est envisageable avec une technique simple et rustique. Esche : fragment de porte-bois, de vers. Il suffit de présenter l'appât devant la gueule du poisson repéré et attendre qu'il morde.
LOCHE de rivière Cobitis taenia (Linné) 1758 - Cobitidés Autres noms communs ou locaux : barbotin, lbarbotte, dormille, dormillon, endormille, grande kereliche, grandel, grundl, kerliche, lanceron, lauqueto, leu, linotte, loche épineuse, locho, lochon, louchou, loquo trenco, lotza, louchia, loursoua, misgurne, motelle, moussegaïré, moustache, moutaille, moutelle, mouteuille, mulotte, mustelle, nausqueto, palmo, petit barbot, satouille, schmerlé, Noms étrangers : Spined loach (GB) - Steinpeitzger (All.)
DESCRIPTION Le corps est allongé, et comprimé latéralement. La face dorsale est jaune avec des tâches sombres; on distingue sur les flancs une rangée longitudinale de 10 à 20 tâches brunes surmontée d'une autre rangée de tâches plus petites; la face ventrale est blanche. Il existe six barbillons autour de la bouche, la narine antérieure est tubulaire. La fente sous orbitaire abrite une double épine érectile. Le second rayon des pectorales est plus épais chez les mâles. Taille : de 8 à 12 cm. rare 16 cm. BIOLOGIE La Loche de rivière vit prés des rives dans les cours d'eau et les lacs clairs à fond sablo-vaseux. La reproduction a lieu d'avril à juillet parmi les pierres et la végétation des eaux courantes et peu profondes. Les alevins deviennent benthiques presque immédiatement après la naissance. Elle devient active au crépuscule, dans la journée elle s'enterre dans le sable ou la vase. ORIGINE ET DISTRIBUTION La Loche de rivière était signalée dans le bassin Seine-Normandie (Ray, 1851 Valenciennes, 1848 ; Gadeau de Kerville, 1897 ; Boisset, 1948 ; Spillmann, 1961 d'Aubenton et Spillmann, 1977; Grégoire, 1983 ); dans le bassin Loire-Bretagne : en Anjou (Soland, 1869), dans le Cher (Dubois, 1903), en Saône et Loire (Gensoul, 1908) et dans l'Allier, le Puy de Dôme, la Loire, la Haute loire, la Lozère et l'Aveyron (Spillmann, 1961); dans le bassin Rhin-Meuse et le bassin du Rhône (Spillmann, 1961) ; elle n'est pas signalée par Verneaux (1971) dans le bassin du Doubs. Dans le Sud elle est citée dans les parties amont des Gardons et l'Orb (Kiener, 1985). Sa distribution actuelle semble être assez limitée au quart Nord-est du pays (bassin de la Seine et de la Meuse) ? PÊCHE Sa capture est rare en adoptant lesédés classiques. La prise de quelques individus pour la pêche au vif est envisageable avec une technique simple et rustique. Esche : fragment de porte-bois, de vers. Il suffit de présenter l'appât devant la gueule du poisson repéré et attendre qu'il morde.
